Photographies
Museum Bensheim - Markplatz 13, Bensheim - Allemagne, 11/2021
WOMEN ARE STILL BEAUTIFUL – Garry Winogrands Sekundenflirts und andere Straßenfotografien aus der Sammlung Freddy Langer.
Exposition du 5 novembre 2021 au 16 janvier 2022.
Présentation de l'exposition : Museum Bensheim
Aperçu partiel de l'exposition sur Instagram : @freedysstreets
Exposition personnelle.
Personal exhibition
Photographies
L'eau et les rêves - Quai de l'Oise - 19e, Paris, 5/2017
Présentation de l'exposition : L'Œil de la Photographie
Exposition personnelle.
Personal exhibition
Photographies
Galerie Vincenz Sala - 52 rue Notre-Dame de Nazareth, Paris, 1/2016
Présentation de l'exposition : Wall Street International
Parutions :
Acrylique sur toile
FNASAT, Paris, 9/2013
Festival Les Uns chez les Autres
FNASAT (Fédération nationale des associations solidaires d'action avec les Tsiganes et les Gens du voyage) - 59, rue de l'Ourcq - 75019 Paris - jeudi 19 septembre 2012
Ce 19 septembre 2013, la FNASAT, Fédération Nationale dont la bibliothèque favorise la connaissance sur les Tsiganes (Roms, gens du voyage), accueille la soirée Caravanes ! durant laquelle des artistes du 19e et des artistes du voyage mêleront leurs visions historiques et chimériques de la caravane, de la puissance du rêve nomade aux illusions du voyage et mobilité forcée des sédentaires. Jeux de rôle, ciné concerts et musique traditionnelle tsigane (le Taraf de Haïdouks) se joindront aux performances artistiques pour vivre ensemble la diversité des talents dans leur densité et intensité romantique et politique.
Programme de l'événement :
L'événement sur Facebook : festival Les Uns chez les Autres
Consulter la vidéo de l'événement.
Exposition personnelle.
Personal exhibition
Acrylique sur toile, sur papier et sur papier kraft ; acrylique et graphite sur papier kraft
Paris, 4/2013
Une forme ronde, poing, tête, phallus s’enfonce dans une masse qui l'enlace. Pour Bruno Lapeyre, il s’agit d’une mémoire lointaine, d’un souvenir intime, ce qui reste de l’énergie d’un corps qui se transforme en geste pictural.
Longtemps l’artiste s’est retenu, maintenant il se lâche sur la toile, se libère des conventions. Loin d'une quelconque représentation ou nomination qui régit notre quotidien, il crée un monde qui va sous la peau, qui se sent à vif.
Les couleurs primaires d’une grande sérénité font écho aux formes primaires évoquant autant le règne végétal, minéral qu’animal.
Tel un écrivain, il invente des personnages, des doubles de lui-même avec lesquels il dialogue : un mouvement des formes engendre des champs d’énergie, des creux et des pleins, un condensé de son vécu, peuplé des perceptions et des présences.
Loin de la dichotomie entre fond et figures, nous sommes ici dans la fluidité de la calligraphie. La forme crée son espace, tel le rêveur qui communique avec ses lieux et ses chimères, se débat avec son passé et son présent, pour se réinventer à nouveau.
Des lignes s’enroulent, circulent, forment un corps, prolifèrent en une multiplicité des corps, un organisme qui se déploie en un paysage.
Des formes en gestation comme dans un état de sensation.
A circular shape, fist, head, phallus, which sinks into a mass that embraces it. According to Bruno Lapeyre, this is about a distant memory, which comes from an intimate remembrance, what is left of the energy of a body that turns itself into a pictorial motion. For a long time, the artist held himself back, and now he goes for it on the painting, releases himself of conventions. Far from any representation or nomination that rules our daily, he creates a world that goes under the skin, a raw world.
The primary colors of a huge sincerity echo the primary shapes evoking evenly the plant, mineral, and animal kingdoms.
The same way a writer would, he invents characters, several doubles of himself, with whom he converses : a move of the shapes engenders energy fields, hollows and fulls, an abstract of his background, populated by perceptions and presences.
Far from the dichotomy between background and shapes, we are in the fluidity of calligraphy. The shape creates its own space, just like the dreamer who communicates with his places and his chimeras, who is struggling in his past and his present, in order to reinvent himself anew.
Lines roll themselves, circulate, shape a body, proliferate into a multiplicity of the bodies, an organism which spreads itself into a landscape.
Shapes in gestation such as in a state of sensation.
Jeanette Zwingenberger , historienne de l'art et commissaire d'exposition
Acrylique sur papier
Paris, 9/2012
Accrochage circulaire
Du vendredi 28 au dimanche 30 septembre, de 14 à 20 heures.
Une proposition de Bruno Lapeyre (peinture), Tami Notsani (photographie), Laurent Mareschal (installation) et Ofra Hoffman (danse) dans le cadre du 4e Parcours d'art contemporain.
Informations sur l'ensemble du parcours : Mairie du 19e
Dans la fonction publique on demanderait si elle est impérative ou non, ici on ne se pose pas la question, qu'y a t-il d'impératif à proposer de tourner en rond sur du papier, une plage ou un jeu de marelle éphémère ? Aucune injonction ni même recommandation n'émane de cet ensemble proposé au regard, à l'ouïe et à l'odorat, il s'immisce plutôt subrepticement chez le visiteur par petites touches. Des protubérances ovoïdes bleues qui se détachent de fonds blancs on retient le caractère organique de la forme et de la matière, il s'agit d'un triptyque qui se déploie sur trois murs comme une suite de photo- grammes qui donneraient à voir une division cellulaire, les formes bougent se dédoublent, vivent (peintures de Bruno Lapeyre). Plus loin, sur un grand mur trône la photo d' un vestige, ovoïde lui aussi. On reconnaît un succédané de la souris la plus tristement célèbre abandonné tête bêche sur une plage et qui semble presque surpris que quelqu'un (photos de Tami Notsani) ait pu le remarquer, ex-attraction du parc désaffecté d'un grand vacancier français en Terre Sainte. A côté, une photo de format plus modeste montre un panier de basket coincé dans un angle de terrain et installé en biais, le tout asphyxié par une grille qui le sépare d'un terrain vague. Tout semble normalisé dans cette aire de jeu peu engageante. Les lignes qui balisent le sol du terrain semblent s'être déplacées au sol dans la pièce. Elles ont changé de couleur au passage devenu jaunes curcuma et odorante comme l'épice du même nom. On identifie un jeu de marelle en forme d'escargot (installation de Laurent Mareschal), encore le jeu, mais éphémère celui là puisqu'une danseuse (Ofra Hoffman) viendra chaque jour en effacer les lignes en interprétant une chorégraphie de son cru inspiré de la danse traditionnelle indienne.
Si l'on embrasse cette proposition d'un regard on remarquera un mouvement circulaire de formes ovoïdes, peintes en bleu par Bruno Lapeyre, photographié par Tami Notsani ou dansé par Ofra Hoffman sur une spirale de Laurent Mareschal. Mais plus qu'un jeu formel, c'est plutôt un esprit commun qui souffle, un certain minimalisme sensuel, une économie de moyen pour parvenir à la substantielle moelle. L'épure donne le champ libre au visiteur de se projeter, mais pas dans de pures abstraction minimales et géométriques, nous sommes au coeur du réel qui se figure dans des formes organiques fugaces comme dans la vie « Rien ne naît ni ne périt, mais des choses déjà existantes se combinent, puis se séparent de nouveau » (Anaxagore de Clazomènes) avec une certaine mélancolie?
Acrylique sur papier
Maison des Canaux, 6 quai de Seine, Paris, 6/2012
Festival Les Uns chez les Autres
Maison des Canaux - 6 quai de la Seine 75019 Paris Mardi 19 juin 2012 / 18h - Minuit
Exposition de 12h à 19h les mercredi 20 et jeudi 21 juin 2012
Ce mardi 19 juin 2012, la Mairie du 19e avec la complicité de Cofitem-Cofimur (Charles Labriet et Paul de la Gorce) et de parisART (André Rouillé), propose une exposition d'art contemporain sur le thème Histoire d'O, source d'amour et transcendance dans l'ancienne Maison des Canaux.
Une exposition thématique qui fait valoir la richesse des échanges possibles entre le territoire, sa mémoire, un lieu et l'imaginaire visionnaire des artistes transcendé par l?histoire littéraire et locale. De l'écume des jours, à la métaphore sentimentale des fluides, et d'Histoire d'O (référence au livre de Pauline Réage), la Maison des Canaux s'illuminera entre représentations mentales et terrestres, érotiques et poétiques. Un dialogue aquatique entre 10 artistes du nord-est parisien (vidéastes, performeurs, peintres, sculpteurs..) sélectionnés à l'issu de l'appel à projet lancé par Julie Navarro, adjointe au Maire du 19e chargée de la culture et 20 artistes invités, complices du Festival.
La Bibliothèque Claude Lévi-Strauss et la librairie La Lucarne des écrivains proposent un espace littéraire dans la salle des ambassadeurs. Littérature bien choisie, échanges, performances et lectures nourriront les idées et projets.
Vers 21H30, la soirée sera mise en musique par un sea sex and sun mix du DJ RKK - Rémy Kolpa Kopoul de Radio Nova.
Artistes sélectionnés :
Thomas Agrinier, Véronique Boutinot, Lola Deswarte, Djeff Regottaz, Aurélie Galois, Full Mano, Anne-Marie Jeannou, François Mendras, Jacqueline Salmon et Jeanne Susplugas.
Artistes invités :
Alexandra Arango, Delphine Assouline, Sandra Bianciardi, Alex Bo, Maria Clark, Publia Crucciana, Tatiana Cruz, Emmanuel Deswarte, Karine Jollet, Lyonel Kouro, Denis Léger, Charles Labriet, Bruno Lapeyre, Alexandra Loewe, Laurent Mareschal, Thierry Michau, Minuit, Tami Notsani, Catherine Orain et Pascaline Rey.
Exposition personnelle.
Personal exhibition
Acrylique sur toile, sur papier et sur papier kraft
Rue d'Orchampt, Paris, 10/2011
Octobre 2011 - rue d'Orchampt, Paris
Organisées par un amateur parisien à son domicile, les rencontres « Orchampt » sont à chaque fois l'occasion de mettre en valeur l'oeuvre d'un artiste en l'inscrivant pleinement dans le quotidien d'un lieu de vie, à l'opposé des musées. Six artistes seront choisis chaque année pour habiter les lieux.
Bruno Lapeyre : acrylique sur toile ou sur papier kraft. François Mendras : peinture à la cire sur bois
Parcours d'art contemporain - 92-94, quai de la Loire, Paris, 10/2011
Du 1er au 3 octobre 2011 - Parcours d'art contemporain - 92-94 quai de Loire, Paris
A l'occasion du 3e Parcours d'art contemporain, François Mendras et Bruno Lapeyre ont choisi de présenter chacun deux de leurs oeuvres pour leur capacité de réponse, les unes aux autres, placées en face en face, sur deux murs opposés. Pris dans ces échanges manifestes, le spectateur doit apprendre à les déchiffrer pour pouvoir distinguer clairement les pièces une à une, leur existence propre.
Acryliques sur toile et projection interactive
WIP Villette, Paris, 9/2010
Le 19 septembre 2010 au WIP Villette (actuel Pavillon Villette)
Dans le cadre du Festival Les uns chez les autres, Bruno Lapeyre, Maria Clark et Bruno Dubreuil inaugurent Le parcours d'art contemporain CARNE qui implique 17 lieux parisiens et 60 artistes.
« L'histoire de l'art, c'est d'abord l'homme mis en pièces par l'artiste qui cherche à le saisir. Les chairs accumulées, retournées, brisées pour être mieux étudiées ou signifiées, comme sorties d'une entreprise d'abattage se recomposent ensemble, trouvent leur propre sens dans cet étalage et une nouvelle vie. »
Bruno Lapeyre
Morceaux choisis, accrochage et projection interactive
Morceaux choisis
Morceaux choisis
Le WIP Villette, Parvis de la Cité des Sciences, Paris